"Qu'elle ne fût la nouvelle,
Quand soudain je perçu,
Une douce odeur de selles,
A mon nez ingénu.
Ô envolée lyrique,
Qu'elle ne fût pas ma trique,
Touchée par la grâce,
D'une odeure tenace.
Il ne fût qu'un instant,
Plongé dans le néant,
Avant de retirer,
Un zizi etonné."
Yvan Galabru.
"Mais après tant d'éffort,
Pour calmer la douleur,
Cette odeur de Rochefort,
Me retourna le coeur.
Une lueur verdartre,
Arrivée par surprise,
Donna une saveur apre,
A cette gourmandise.
Ô sort cruel,
Comment conquérir celle,
Sans qu'elle ne soit génée,
Par "Zizi irrité".
Yvan Galabru
"A l'aurore de la brume,
J'entendis un fracas,
Semblable à une enclume,
Installée sous mes draps.
Le membre redressé,
L'apétit en regain,
Je ne pu m'empecher,
D'y jeter mon venin.
La crinière ventée,
Le rugissement féroce,
Etalée, la gelée,
Sur nos belles nuits de noces.
Sans même le présagé,
Le coup était partit,
Humide, collé au lit,
Le zizi enragé."
Yvan Galabru
"Un jour de pleine lune,
Ma nature exhibée,
Je connue l'infortune,
D'une rosette souillée.
Ô malheur, Ô présage,
Je ne sus être sage,
Le bel arrière pédant,
"Je vais rentrer dedans".
Ô malheur, Ô présage,
Je ne sus être sage,
L'affaire était tachée,
Et mon zizi moucheté."
Yvan Galabru
"Connaissez-vous l'aigreur,
de nos minces ardeurs,
lorse qu'un membre tordu,
pointe sous un par-dessus.
En saluant Mesdames,
Il en perdit sa lame.
Pour retrouver rigueur,
Et force disparue,
Dans un élan de peur,
Verre de cyprine il bue.
Et grace à ce breuvage,
Venant du fond des ages,
Leurs jouent furent claquées,
Par "Zizi martellé".
Yvan Galabru
"Mais n'avez-vous jamais,
Jamais, Ô grand jamais,
Dans un court espace temps,
tripoté votre gland,
alors dans l'eau tiede,
de nos verte contrées,
je voyer s'évaporer,
mon zizi en fumée."
Yvan Galabru
"Comment peut-on appeller,
un membre relevé,
le zizi en fusée ?
Je rendais hommage,
c'était un soir d'été,
oui, j'avais,
le zizi en fusée."
Yvan Galabru.
